Depuis la présentation de notre projet, nous avons obtenu
l’adhésion d’un grand nombre de Buzétois, de politiques, de chefs d’entreprise
et prochainement d’investisseurs….. Nous rappelons que ce projet n’est qu’un
exemple. Qu’il ne s’agit peut-être pas de LA solution.
La thématique développée dans le projet Aïgopole (exemple de
projet alternatif à celui des Portes du Tarn) intéresse au plus au point des
investisseurs privés français et étrangers. Ces derniers, souvent originaires
du pourtour méditerranéen et sont confrontés également à la problématique de
l’Eau. Ils voient dans notre projet plusieurs avantages. En premier lieu le
pôle formation est pour eux stratégique. Il pourrait se créer des échanges
entre le lycée et les écoles des deux côtés de la méditerranée. Des synergies
seront aussi fortement probables entre les entreprises et pépinières
d’entreprises. L’attractivité de Toulouse et de la région Midi-Pyrénnées joue
pleinement !!!
Bref, ce projet doit être vu comme un projet gagnant-gagnant
sur une problématique de développement durable partagée par tous.
D'après nos informations, des investisseurs issus du bassin
méditerranéen sont régulièrement sollicités pour financer certains projet de
ZAC dans le sud de la France. ZAC dont les caractéristiques ressemblent
étrangement à celles du projet des Portes du Tarn.
Nous nous sommes longtemps interrogés sur le financement du
projet actuel des Portes du Tarn. Un peu plus de 80 millions à obtenir dans la
période que nous traversons pour un projet passéiste nous semblait être une
gageure impossible à relever.
Général de la Haute-Garonne est obligé, cette année, de diminuer les
subventions d'au moins 10% avec pour certains postes des diminutions de 40%.
Comme vous avez pu le lire dans l'article ci-dessous paru dans le Journal
d'Ici, ce n'est pas plus reluisant dans le Tarn. Tous les départements sont
confrontés à la crise et sont donc obligés de faire face. Ce n'est donc le
moment pour personne de se lancer dans des projets pharaoniques et
aléatoires......Sauf si ce n'est pas le conseil général qui finance directement
ce projet "visionnaire".
Effectivement, des
investissements étrangers pourraient être une des solutions.
Dans une période très difficile en terme de financement,
l’apport de financements privés et publics internationaux sera déterminant.
Mais, il faudra que tout le monde s’y retrouve : territoire, population de ce
territoire, investisseurs privés et pays partenaires.
Il est fort à parier que des investisseurs algériens ou
marocains seront plus sensibles à des investissements durables répondant à des
besoins sensibles et créateurs d’emplois pour l’avenir qu’au financement d’une
nième ZAC logistique avec centre commercial. De la même manière que pour tout
projet on doit prendre en considération l’identité du territoire et les
aspirations de ses habitants, il y a une obligation de proposer aux
investisseurs des projets d’avenir et non du réchauffé.
Même de l’autre côté de la méditerranée, les couleuvres sont
dures à avaler…..
Nous nous tenons à la disposition de ces investisseurs afin
de leurs présenter le contre projet.
Pour en savoir plus : ....La France ne désespère pas pour sa part d'attirer les investissements algériens.......;