Pourquoi M. Le Maire profère autant de haine à l’encontre de l’ASC dans son article ? A-t-il écrit lui-même ce texte ou s’est-il fait aider par un conseiller municipal ou pire encore des personnes ayant un intérêt à voir l’action de l'ASC discréditée afin que leurs projets aboutissent ?
Cette basse manœuvre cache mal la fracture ouverte qu’a provoquée le projet des
Portes du Tarn sur la commune et dans l’entourage très proche de Monsieur Le
Maire.
En effet, l’accrochage du vendredi 6 avril n’avait rien à voir avec l’ASC. Monsieur Le Maire le sait très bien.
Si les personnes impliquées sont effectivement adhérent ou sympathisant de l’ASC, l’origine du désaccord n’était pas les sujets traités par l’ASC et les faits ne se sont pas du tout déroulés comme l’a indiqué M. Le Maire dans son article.
Mais allons plus loin.
Derrière la mise en cause de l’ASC, M. Le Maire veut faire d’une pierre deux coups : donner une leçon à sa manière à l’ASC et régler des comptes avec une partie de « ses amis » qui a enfin osé se lever contre lui et SON projet de ZAC et se rapprocher de l’ASC !!!
L’objectif est triple :
En effet, l’accrochage du vendredi 6 avril n’avait rien à voir avec l’ASC. Monsieur Le Maire le sait très bien.
Si les personnes impliquées sont effectivement adhérent ou sympathisant de l’ASC, l’origine du désaccord n’était pas les sujets traités par l’ASC et les faits ne se sont pas du tout déroulés comme l’a indiqué M. Le Maire dans son article.
Mais allons plus loin.
Derrière la mise en cause de l’ASC, M. Le Maire veut faire d’une pierre deux coups : donner une leçon à sa manière à l’ASC et régler des comptes avec une partie de « ses amis » qui a enfin osé se lever contre lui et SON projet de ZAC et se rapprocher de l’ASC !!!
L’objectif est triple :
- faire tomber dans le panneau les Buzétois récemment installés qui forcément ne connaissent pas les véritables liens qui existent (ou existaient) entre M. Le Maire et les personnes mises en cause. Les Buzétois installés depuis plus longtemps ne sont pas dupes.
- Discréditer l'action de l’ASC,
- Mettre en garde toutes les futures oppositions.
La manière, toujours la même : le mensonge
et la manipulation. Un accrochage entre deux personnes, l’une de 72 ans l’autre
de 61 ans, (qui sortent ensemble de la salle de la mairie) qui a lieu en dehors
de la mairie ; une troisième personne vient ensuite en aide à la personne la
plus âgée et se produit l'incident. Ceci est transformé par M. Le Maire
en « deux membres de l’Association de Sauvegarde des Coteaux agressent
sauvagement…..deux membres de l’ASC ont attendu l’adjoint à l’urbanisme à
l’extérieur pour l’agresser…. ». Un mensonge éhonté est utilisé pour manipuler
les buzétois.
Le mensonge : un outil de gestion municipale à Buzet ?
Nous condamnons l’usage de la violence. Celle-ci est, dans tous les cas, contreproductive. Malheureusement, elle est souvent employée dans des situations de désespoir par des personnes perdues et en manque d’arguments..…
C’est très loin d’être le cas de l’ASC.
En revanche, M. Le Maire utilise cette violence.
Dans son article, volontairement violent, il montre donc son impuissance et son impatience.
En manque d’arguments, quelque peu sonné par ceux avancés par l’ASC, par l’avis donné par le commissaire enquêteur sur le PLU de Saint-Sulpice, celui-ci, au lieu d’en appeler à la concertation et au dialogue, choisit la violence oubliant ainsi ses fonctions de maire.
La violence est l’arme des faibles.
De plus, la publication de cet article sur le site de la mairie laisse entendre que l’ensemble des conseillers municipaux valident ce texte et cautionnent la pratique du mensonge comme outil de communication.
Heureusement, certains conseillers se sont désolidarisés de cet article et vous trouverez ci-dessous le témoignage de M. Xavier Pareille, conseiller municipal, adjoint démissionnaire.
Le mensonge : un outil de gestion municipale à Buzet ?
Nous condamnons l’usage de la violence. Celle-ci est, dans tous les cas, contreproductive. Malheureusement, elle est souvent employée dans des situations de désespoir par des personnes perdues et en manque d’arguments..…
C’est très loin d’être le cas de l’ASC.
En revanche, M. Le Maire utilise cette violence.
Dans son article, volontairement violent, il montre donc son impuissance et son impatience.
En manque d’arguments, quelque peu sonné par ceux avancés par l’ASC, par l’avis donné par le commissaire enquêteur sur le PLU de Saint-Sulpice, celui-ci, au lieu d’en appeler à la concertation et au dialogue, choisit la violence oubliant ainsi ses fonctions de maire.
La violence est l’arme des faibles.
De plus, la publication de cet article sur le site de la mairie laisse entendre que l’ensemble des conseillers municipaux valident ce texte et cautionnent la pratique du mensonge comme outil de communication.
Heureusement, certains conseillers se sont désolidarisés de cet article et vous trouverez ci-dessous le témoignage de M. Xavier Pareille, conseiller municipal, adjoint démissionnaire.
Nous les en remercions. D’autres les
rejoindront.
Toutefois, des conseillers suivent la position de M. Le Maire en nous disant qu’ils n'avaient jamais lu cet article ou plus grave encore en nous rétorquant : « mais, ces personnes ne sont-elles pas membres de l’ASC ? »
Toutefois, des conseillers suivent la position de M. Le Maire en nous disant qu’ils n'avaient jamais lu cet article ou plus grave encore en nous rétorquant : « mais, ces personnes ne sont-elles pas membres de l’ASC ? »
Quel manque de respect pour les adhérents
de l’ASC qui n’ont rien à voir avec cet incident et qui ont souhaité adhérer à
cette association pour exprimer leurs opinions !!!
Poursuivons la réflexion :
RépondreSupprimerQue penser d'un conseil municipal au sein duquel la majorité des élus n'ose s'exprimer car, comme ils le disent eux même, "notre avis n'a pas d'importance".
Ces mêmes élus qui, lorsqu’ils sont interpelés, affirment que tel projet n’est pas présent dans le PLU alors qu’il a été « retoqué » une première fois et que le couvert est remis !
L'exaspération existe aussi au sein de ce conseil municipal ou la règle est celle du consentement par défaut, ou les élus signent un "chèque en blanc" en adoptant le PLU sans en connaitre le contenu.
Dire NON n’est pas un signe de faiblesse, et cela permet souvent de faire avancer le débat car la discussion est alors obligatoire pour continuer ensembles.
Dire NON est parfois la bonne réponse, pensez y messieurs les élus !
Merci à l’ASC pour son travail, grâce auquel nous sommes informés.
Merci à toutes ces personnes qui s’investissent pour que le futur de BUZET ne soit pas bradé.
Bravo Mr Pareille pour votre courage et votre liberté d’expression.